« call her jj » jalander jackson

caractère : « Parfois, les gens se demandent qu'est ce que je peux bien faire chez les verts et agents. C'est vrai, au premier abord, je n'en ai pas les caractéristiques. Pourtant, si je suis là ce n'est pas pour rien, et pas uniquement pour mon ascendance. Mais les gens ne voient que ce que je veux montrer, à vrai dire. Parce que oui effectivement, je n'ai pas envie de faire comme toutes ces langues de vipères, et agresser tous le monde pour un rien, et donner raisons à ces nounours de gryffondor à propos de tout ce qu'ils peuvent dire sur nous. Nous, les Serpentards valons bien mieux que ça, mais peu d'entre nous l'avons compris. Alors quand je me montre gentille, souriante, excellente élève, on me traite de traître. Sauf que ceux qui me connaissent savent que je suis autre chose que ça. Bon, effectivement je suis aussi un peu telle que je le paraît, mais il m'arrive de forcer le sourire que j'arbore en permanence. Mais malgré cela, je suis extrêmement généreuse envers les miens. Peut-être un peu maternelle, aussi. J'ai tendance à protéger les gens que j'aime, comme une mère. On dit aussi de moi que je suis plutôt mature, malgré certains de mes enfantillages. J'aurais très bien plus me retrouver chez les Serdaigle, car j'adore m'instruire, apprendre. Mais d'autre de mes capacités ont pris le dessus, sans aucun doute. Parce que je sais toujours ce que je veux, et comme une vraie tête de mule, je veux l'obtenir par tous les moyens. Je déteste que quelque chose ou quelqu'un me tienne tête, surtout que je n'ai pas du tout le sens de la répartie comme certains de mes confrères. Si me venger je dois, je le fais bassement, sournoisement, en secret. Et la plus part du temps, ça fait pas. Je ne suis pas fragile, loin de là. Les gens le pense, et quelque part, ça m'exaspère. Je ne suis pourtant pas un petit serpent sorti de son oeuf, incapable de se débrouiller seul. Il est vrai que je suis le genre de fille à accumuler les maladresses, qui sont toute fois plus du à un manque de tact qu'à un manque de finesse, de grâce. Je suis effectivement plutôt franche, ce qui me vaut parfois des regards noirs, et quelques petits sorts jetés par derrière. Peu importe, je ne me laisse pas avoir comme ça, et ma vengeance sera glacée. Et puis, avec le temps, j'ai appris à rire de tout ça. Un peu trop, surtout que je n'ai pas forcément un humour de meilleur goût. Il faut dire qu'entre deux amis garçoans, il m'est difficile de développer une féminité incroyable dans mes propos. Cela dit, et malgré certaines de mes réactions, je ne suis pas un garçon manqué, loin de là. Et puis, les garçons ne tombent pas amoureux de la première personne venue, contrairement à moi. Je ne tombe pas vraiment amoureuse, mais j'ai disons des... coups de coeur extrêmement forts, quelque chose comme tous les 10 jours. Alors on me dit frivole, volage et caetera. C'est peut-être un peu vrai, parce que l'amour me fait peur. J'ai pourtant bien plus d'amis garçons que filles, car j'ai l'impression qu'ils me comprennent, eux. Les filles, c'est si stupide. Presque autant que les Gryffondors. »

physique : « Je ne suis pas le genre de canon de beauté que les moldus adorent, ni que les autres filles envient. Pourtant, je ne suis pas non plus une limace pleine de verrues. Je suis jolie, charmante, mignonne, comme vous le voulez. Peu m'importe, à vrai dire. J'adore plaire, mais je n'en ressens pas le besoin, et ne me met pas en avant en jouant avec mon physique. D'ailleurs, je ne fait pas tout en fonction de celui-ci, bien au contraire. Je ne me prive de rien, surtout quand il s'agit de nourriture (par la barbe de Merlin, les Chocogrenouuuuiile). Mais grâce au quidditch que je pratique depuis longtemps, je garde une forme certaine. J'ai quelques rondeurs, qui sont tout à fait normal pour une jeune fille, et de mon âge qui plus est. On dit que ça fait mon charme, et j'adore ça. Et puis, tant que cela ne m'empêche pas de m'habiller comme je le veux, peu m'importe. Mais à vrai dire, je ne porte pas des tenues remarquablement affriolantes, ou bizarres, comme celles des moldus. Sous ma robe de sorcier se cache en vérité des vêtements simples, comme un simple t-shirt, un jean denim et une paire de baskets. Là encore, pas très féminin, alors j'arbore parfois des tenues bien plus dignes d'une jeune fille de mon âge, portant avec fierté des talons hauts, qui me valent de belles dégringolades. Dégringolades qui ne m'empêche pas de garder un sourire radieux, dans la plus part des situations. Bien que parfois forcé, coquin ou malicieux, le sourire est toujours là, présent sur ma bouche légèrement pulpeuse et rosée. D'ailleurs, c'est sans doute ce que l'on remarque le plus vite dans mon physique. Vient ensuite mon visage même, légèrement carré et pourtant digne d'une poupée. Mais contrairement à celles-ci, je ne suis pas pâle, et j'arbore un léger bronzage, étonnant pour une pure britannique qui en sort jamais. Et comme pour mieux accompagner mon teint, mes cheveux ainsi que mes yeux se veulent d'une couleur brune. il est vrai qu'il m'arrive d'en changer, mais je préfère ma réelle nature, brune, sombre et mystérieuse. On dit de moi que je suis le portrait craché de mon père, sauf quand il s'agit de la taille. Il était en effet immensément grand, contrairement à ma mère, d'une taille bien plus moyenne. Mais je suis sûre d'une chose, je suis quand même bien différente d'eux, en de nombreux autres points. »

année d'étude : « Quatrième année »
matière favorite : « Après longue réflexion, je dirais Sortilège. J'aime beaucoup les potions, aussi. On n'a pas le droit à l'erreur. »
idée de métier : « Moi ce que j'aimerais faire ? Professeur, de sortilège ou de potion. Je suis plutôt douée dans ces matières, et j'ai la fâcheuse habitude de toujours vouloir apprendre aux autres de nouvelles choses, contre leurs plein gré. Et puis donner des punitions à qui l'on veux... Oui, je me vois bien devenir professeur. A Poudlard bien sûr. »

PANDORA « Ben, je suis enceinte ! »
BENJAMIN « Attends, je prends une chaise, et tu me répète ça calmement Pandora. Calmement. »
PANDORA « Benjamin Edward Jackson, tu as devant toi une femme, qui porte dans son ventre un futur sorcier. Ou une sorcière. Ou un hypogriffe. »
BENJAMIN « Panda, c'est pas le moment là. Ton humour à deux Gallions, tu te le gardes. »

La dite Pandora lança un regard noir à celui qui était depuis huit mois son mari, un regard qui fut aussitôt suivit par un baiser long et savoureux. La jeune femme et son mari s'étaient rencontrés il y avait de cela bien des années. En effet, c'était les couloirs de l'école de poudlard qui les avait vu se rencontrer, quand l'un avait renversé les livres de l'autres. Pandora Page était alors en deuxième année, dans la prestigieuse maison des Serpentards. Benjamin Jackson était quant à lui en troisième année, dans la maison des sages Serdaigles. Rien ne pouvait vraiment les rassembler, et les débuts de leur relation en ressenti les effets. Avant de devenir le couple mythique qu'ils devinrent ensuite, les deux amants se détestaient. Pire, ils se haïssaient. Mais malgré toutes sortes de choses qui les dissociait, une chose les rassemblait : un même amour pour le mal.
La famille Jackson était une prestigieuse famille de Mangemorts, depuis bien des années déjà. Servant le mal avant qu'un sorcier nommé Tom Elvis Jedusor, cette famille de grande lignée était craint par toutes personnes susceptible d'avoir un lien dans ce domaine. Pour les autres personnes, tout était différent. Car malgré des convictions qu'ils avaient toujours affiché, les Jackson étaient des gens présentables, et tout à fait charmants, loin de ce qu'ils étaient en vérité. La lignée de Pandora Page, cependant, avait suivit un tout autre chemin. Seule la mère de la jeune Panda était une partisane des ténèbres, ce qui avait valu un rejet définitif de cette dernière par le reste de la famille. Son mari même était parti, laissant aux mains d'une femme malade et folle leur fille. Milana Page était en effet rongée par une maladie grave, et folle d'amour pour le Seigneur des Ténèbres, s'inventant même une relation avec ce dernier. Pandora grandit donc avec la présence omniprésente de Voldemort, à qui elle voua une admiration jusqu'à sa fin.
C'est un an après leur rencontre dans le couloir menant à la salle de métamorphose que Benjamin et Pandora décidèrent d'entamer une relation dite "amoureuse". Des années après, il se mariaient, pour donner dix-sept mois plus tard leur premier et dernier enfant.

PANDORA « Promets moi qu'on l'appellera Jalander »
BENJAMIN « Jalander ? Et puis quoi encore, tu le sors d'où ce prénom ? Et qui te dit que se sera une fille ? »
PANDORA « C'est moi qui le dit, alors tu me crois. »

Puisque madame en avait décidé, ce serait ainsi. Pandora semblait avoir une vraie force de persuasion, comme si elle était la propre maîtresse de son destin. Car quelques mois plus tard, c'est bien une petite sorcière qui naquît. Benjamin était quelque peu déçu, mais peut importait. Il était tombé sous le charme de la bouille de l'enfant que sa femme venait de mettre au monde, de la si jolie petite bouille de Jalander Emma Sixte Jackson. Elle semblait lui ressembler trait pour trait, malgré un fort tempérament qu'elle tenait sûrement déjà de sa mère. Agée de quelques mois, le bébé savait déjà ce qu'il voulait, quand il le voulait. Mais n'allez pas croire que ce caractère s'estompa avec l'âge, bien au contraire. Agée de 8 ans, Jalander maîtrisait les quelques dons magiques qu'un sorcier de bas âge a en lui, sans avoir besoin de baguette. Bien sûr, elle adorait effrayer les autres enfants, malgré ce que pouvait en dire ses parents. Mais Jal s'en fichait éperdument. Après tout, elle était bien assez intelligente pour comprendre que ses parents faisaient de même, avec les plus grands, a une autre échelle. Elle ne comprenait d'ailleurs pas pourquoi la famille Jackson s'était installée si près des moldus, malgré la villa froide où ils vivaient. Bien qu'un peu isolée, elle aurait pu être visible aux yeux des moldus si Benjamin n'avait effectué un sortilège approprié à l'invisibilité de la maison. Fait que la petite Jalander ignorait, à l'époque. Un fait ignoré parmi tant d'autres, d'ailleurs. Car ses parents se gardaient bien de lui dire ce qu'il faisaient, quand ils rentraient tard. Et puis d'ailleurs, Jalander même le secret révélé n'aurait jamais voulu se l'avouer, jamais. Elle fréquentait à l'époque de jeunes sorciers, qui lui contaient les aventures d'Harry Potter, et d'un certain Voldemort. Ses amis n'étaient pas de familles partisanes, et être adepte de cette magie était horrible. Si horrible qu'on en mourrait, quelqu'était notre camp.
C'est d'ailleurs ce qui arriva, malgré l'illusion qu'avait Pandora d'être maîtresse du destin. Jalander alors âgée de dix années perdu ses parents, tués par ceux qui étaient alors les héros du monde des sorciers : l'Ordre du Phénix. A dix ans, Jalander perdait ce qu'elle avait, ne gardant de ses parents qu'un héritage très important, et qu'une grand-mère malade et mentalement perdue.

JALANDER « Grand-mère, je sors. »
MILANA « A ton âge ?! Je rêve ! Si le Seigneur des Ténèbres était là, il nous déshonorerait sans hésiter, petite limace dévergondée. Ma famille, ma pauvre famille... »
JALANDER « C'est ça grand-mère. Bonne nuit. »

Jal claquait la porte, désespérée. La froideur de Londres au soir lui frappa le visage de plein fouet, la forçant à l'enfoncer en partie dans sa gigantesque écharpe. La maison où elle logeait depuis désormais cinq ans était située en plein Londres, sans que l'on ne l'a remarque pour autant. Peut-être avait on jeté un sortilège à cette maison, comme à l'ancienne habitation de Jalander. Habitation qu'elle avait du abandonner, oublier, pour venir vivre ici, en pleine ville, avec sa folle de grand-mère.
L'été disparaissait peu à peu, et JJ se persuadait tant bien que mal qu'elle serait malheureuse de laisser sa grand-mère, malade seule chez elle. En effet, le lendemain était pour elle un grand jour, celui d'une rentrée bien différente des précédentes. Jal devait quitter sa grand-mère, et partir vivre dans la plus prestigieuse école européenne de Magie : Poudlard. Depuis le temps qu'elle en rêvait. D'autant plus qu'elle prenait pour elle le fait que la rentrée se faisait des années après celle l'âge auquel on avait l'habitude d'intégrer l'école. Et là, le lendemain, elle devait intégrer l'école, parmi des centaines d'élèves. Chose qu'elle appréhendait, non pas pour l'intégration de la maison, car elle était persuadée de suivre les traces d'au moins un de ses parents. Non, son appréhension, c'était d'être mêlée a tant d'autres personnes, de n'être qu'un masse. De ne plus êtres différente.

JALANDER « Tu le trouve pas mignon, lui là bas ? »
JACK « Pas autant que moi. Sérieusement, qu'elle idée de me demander mon avis, à moi, le Dieu vivant Serpentardesque des quatrièmes années. »
JALANDER « Effectivement vu comme ça, il va falloir que je remédie certaines choses au niveau de mon comportement. »
JACK « M'aduler, par exemple »
JALANDER « NOM D'UNE GARGOUILLE, JACK, JACK CORDWELL EST À MES CÔTÉS, PAR LA BARBE DE MERLIN QUEL HONNEEEEEEEEEEEEUR »
JACK « J'ai dit aduler, pas ridiculiser, JJ. »

Contre toute attente, Jalander donna une petite frappe amical sur l'épaule de son meilleur ami. C'est vrai qu'entre Aaron et Jack, la demoiselle était particulièrement bien entourée. Sûrement jalousée, entre nous. En effet, ses deux meilleurs amis étaient de purs étalons, magnifiques et adulés de tant de jeune filles en fleure qu'on les aurait pris pour des... comment les moldus appellent-ils ça ? Des rockstars.
Cela faisait bien quatre grosses bonnes années qu'elle les connaissait, les deux lascars. Rencontrés à la rentrée de leur première année, ils avaient soudés un formidable lien d'amitié, jusque là inébranlable. Les deux beaux gosses américains avaient atterris dans la maison de Salazar Serpentard, tout comme Jalander, bien plus que ravie. malgré certaines pimbêches que contenait sa maison, elle en était extrêmement fière, n'hésitant pas à clamer haut et fort ses origines. Oh, bien sûr, Jal avait toujours caché la mort de ses parents aux gens, comme le fait que c'était l'Ordre qui les avait anéanti. Un secret qu'elle gardait pour elle pour des raisons évidentes : la haine des gens. Or mis ceux de sa maison, Jal savait pertinemment que la savoir de parents meurtriers serait désastreux, surtout quand on fait tout pour être la meilleure élève. Effectivement, et depuis sa première année, JJ passait toujours bien plus de temps que ses amis à s'instruire, et même à se montrer tutrice envers certains élèves, les aidant dans leurs devoirs. Accumulant d'excellentes notes, Jalander Emma Sixte Jackson avait un avenir bien droit tracé devant elle. Ou pas.